mardi 29 juin 2010

Salsa Chipotle fumé Le Choix du Président


Qui n'aime pas manger des nachos accompagnés d'une bonne salsa ? Pas moi en tout cas ! Et puisque je n'ai pas toujours le temps (ou le goût !) de cuisiner ma propre salsa maison, alors je fais un commun des mortels de moi-même et je l'achète du commerce, prête à manger. Toutefois, comme j'en avais marre des salsas Tostitos et autres Old El Paso et de leur petit goût de, comment dire, "revenez-y, mais prenez tout votre temps", je suis donc partie en croisade afin de trouver LA salsa. Et j'en ai trouvée une qui, si elle n'est pas la salsa de la fin du monde, s'en rapproche drôlement. Et j'ai nommé : la salsa Chipotle fumé le Choix du Président. Les piments jalapeños et chipotles entrant dans sa composition lui confèrent une saveur légèrement piquante avec un petit goût de fumée, saveur agréablement différente qui la fait se démarquer de ses concurrentes. Il est à noter également que sa petite soeur, la salsa Recette originale, plus classique, est également succulente.

lundi 28 juin 2010

Pourquoi pas des hot-dogs au foie gras, tant qu'à y être?

Misère. Encore de la poutine revisitée. Vous ne pourrez pas dire que c'est moi qui invente: ce gros panneau publicitaire est tout ce qu'il y a de plus réel, coin Mont-Royal et St-Laurent!

dimanche 27 juin 2010

Le réservoir


C’était jour de congé en pleine semaine et pour fêter ça, nous avions décidé ce midi-là d’aller au resto. Nous avons d’abord pris la direction de Soupe Soup, petit resto sympathique où on propose divers choix de soupes et sandwiches qu’on peut combiner à son gré, formule parfaite pour le midi. Malheureusement, comme c’était jour de congé, Soupe Soup était fermé. Nous avons donc continué notre chemin sur la rue Duluth, jusqu’au Réservoir qui, lui, était ouvert. Le Réservoir est à la fois une brasserie, une vraie, où on fabrique sur place de la bière, et un bistrot. L’endroit possède une certaine renommée pour ses brunches du week-end. Il m’est arrivé d’y prendre un verre quelques fois, mais alors que nous fréquentons le quartier depuis des années, nous n’y avions encore jamais mangé. Nous y entrons donc et on nous installe à une table.

Petit resto dont le décor mélange le style industriel et le mobilier recyclé (concept autrefois branché, devenu classique (ou galvaudé, selon le point de vue)) : quelques tables dans la salle, un bar, une petite cuisine et les grosses cuves dans lesquelles est élaborée la bière maison, bien visibles derrière des vitrines. Pour les jours de grande affluence, il y a aussi une terrasse sur le toit. Mais ce midi-là, c’est plutôt tranquille. Vous ai-je dit que c’était jour de congé?


L'ardoise propose une variété intéressante de plats : onglet de bœuf, doré de lac poêlé, fish and chips, cuisse de poulet confite, falafels maison. Viande rouge, poisson, fast food, volaille, plat végétarien : il y en a pour tous les goûts.

Jojo choisit le potage de poireaux fumés et les falafels. J’y vais pour le poulet, mais non sans avoir hésité à prendre le fish and chips, dont je peux reluquer un exemplaire sur une table voisine et qui a l'air très cochon. Mais la raison prévaut et je résiste à l’appel de la friture. Poulet ce sera.

Le généreux potage est servi dans un grand bol. Il est relevé d’un soupçon de crème de chèvre et de beaux gros croutons y font la planche. Le goût de fumé est bien présent, sans prendre toute la place. Très bon.

L'assiette végétarienne nous rappelle que malgré le temps gris, l’été est bien là. Les falafels sont accompagnés d’un yogourt à l’ail, d’une purée de pois chiches, d’une salade et d’une drôle de petite pita maison, toute dodue. Les croquettes sont bien goûteuses et légères. Belle assiette.

La cuisse de poulet est servie avec des morilles, le tout étant nappé d’un jus de cuisson bien concentré. La salade d’accompagnement est un mélange d’orpin, et de légumes froids : courgettes grillées, carottes de deux couleurs et asperges, tous cuits al dente, comme il se doit. Le plat est servi sur une planche, ce qui semble être la pratique courante ici. Le poulet est fondant, moelleux, tout à fait comme j’aime le faire moi-même, mais en mieux, bien sûr (un plat parfait dans un restaurant est toujours source d’humilité pour le gastronome amateur).

Pour dessert, Jojo me confirme que le pot de crème chocolat, coiffé d’une touche de dulce de leche, est délicieux. Elle ne pourra malheureusement pas en venir à bout et, le cœur brisé, devra abandonner la chose à moitié mangée.

Verdict : belle (re)découverte que ce Réservoir. De la cuisine bien faite, simple, des produits frais et de qualité. J’aimerais travailler dans le quartier pour pouvoir venir y dîner plus souvent. Mais maintenant que la glace est brisée, nous reviendrons bientôt essayer leur fameux brunch!

Évaluation : ***½

Le réservoir, 6, rue Duluth Est, Montréal. L’ardoise propose des entrées de 5 à 10$ et des plats de 14 à 16,50$. Selon votre appétit, comptez donc un peu plus de 15$ jusqu’à 30$ avant taxe et service.

samedi 19 juin 2010

Casa Tapas (bis)

Nous avons récemment rendu une nouvelle visite à la Casa Tapas, dont nous avons déjà parlé ici. Nous y retournons régulièrement depuis une dizaine d'année et n'avons jamais été déçus. Et ce restaurant semble avoir de nombreux habitués: c'est toujours plein, en semaine comme le week-end.

Voici donc quelques mots sur cette récente visite à la Casa Tapas.

Les croquettes de crevette de la Casa Tapas sont pour nous un incontournable. Sous la panure frite, des croquettes bien tendres, presque crémeuses, dans lesquelles on perçoit des morceaux de crevettes et des pois verts. Par le passé, on nous les avait servies avec une très classique sauce tomate. Cette fois-ci, les croquettes  étaient accompagnées d'une sauce crémeuse au poireau. Succulent.

Le gratin de courgettes a été pour moi une belle découverte. A priori, les courgettes, c'est fade et banal, n'est-ce pas? Ici, dans un généreux plat, les tranches de courgettes grillées étaient assaisonnées d'ail, d'oignons et d'un concassé de tomates. Le tout, légèrement gratiné de fromage. Le goût délicat des courgettes était magnifié par le parfum des autres ingrédients. Simple et bon, comme on aime ce type de cuisine.

Avec chacun une entrée et quatre généreux tapas à partager, nous n'avions malheureusement plus d'appétit pour les incontournables chouros, qui furent exceptionnellement contournés (si je puis dire). Ce sera pour la prochaine fois!

Le décor de ce resto vaut presque à lui seul le détour. Trouvez-vous un alibi pour aller faire un tour aux toilettes: leur décoration inspirée de Gaudi, ces moulures organiques qui semblent pousser sur les mobilier, cette peinture figurative sur une partie du mur... On est loin du design moderne et clinique de tant de restaurants branchés.

Enfin, sachez que la Casa Tapas est un de ces restos où il faut mettre en application les deux trucs de base du guide de survie de tout gastronome montréalais : (a) réservez plusieurs jours d'avance ou (b) ne rechignez pas à vous asseoir au comptoir si vous n'êtes que deux convives.

lundi 14 juin 2010

Poutine : la blague a assez duré!

Dans un récent message sur Twitter, Martha Stewart, la papesse du bon (?) goût des banlieusardes américaines, alors en visite au Québec, écrivait : « Eating poutine in the laurentians. French fires,string cheese and brown gravy???what’s the attraction? » (Son message original est par ici).

Nooooooon! Pas encore la poutine!

Ce n’est pas que je porte personnellement quelque importance à l’opinion de madame Stewart, mais voyez-vous, cette dame est présentement suivie sur Twitter par 1 940 815 lecteurs. Ce sont malheureusement presque deux millions de personnes de plus qui feront l’équation :

Québec + cuisine = poutine

Ne trouvez-vous pas comme moi que la blague a assez duré? Il est grand temps que cesse la promotion de ce mets de cantine qui ne mérite guère plus de publicité que la guédille ou les onion rings. Passons à autre chose, je vous en prie!

J’ai déjà dit tout le mal que je pense de la poutine dans ce blogue (pour ceux qui aurait manqué l’article, c’est par ici). Vous me taxerez de snobinard si ça vous chante, mais je crois que la réputation gastronomique du Québec est en jeu. Voici donc mon plan. Cessons tous en même temps de manger de la poutine, cessons de la revisiter, cessons de l’anoblir, cessons d’en parler, faisons comme si cette chose abjecte n’avait jamais existé et alors peut-être les cantines et les restaurants, voyant que la chose ne se vend plus, cesseront-ils d’en servir. Ça prendra cinq, dix ou quinze ans, mais peut-être réussira-t-on à nettoyer le paysage culinaire québécois de cette horreur.

Il m’est permis de rêver qu’un jour, l’étranger de passage dans nos contrées, curieux de découvrir notre gastronomie, se fera un devoir de goûter autre chose qu’encore et toujours cette satanée poutine.

La bruschetta Fontaine Santé



La bruschetta est un produit versatile que j'aime particulièrement et ce notamment, parce qu'il s'articule autour de la tomate ! Encore et toujours la tomate !

Fontaine Santé confectionne quant à moi, la meilleure bruschetta sur le marché. Elle est savoureuse et la liste de ses ingrédients est brève, ce qui représente un atout non négligeable pour ce type de produit.

Cette bruschetta fait merveille comme entrée ou comme mise en bouche, simplement déposée sur des croûtons de baguette grillés. On peut également l'intégrer dans une salade afin de lui insuffler un petit "oumpf". De toutes façons, quelque soit la manière dont on l'utilise, cette bruschetta sait comment se faire aimer !

dimanche 13 juin 2010

Laloux


Le restaurant Laloux est une de ces rares institutions culinaires à Montréal qui semblent survivre au passage du temps. Dieu sait qu’à Montréal, les restos ont trop souvent la vie dure et la vie courte, mais d’aussi loin que je me rappelle, Laloux a toujours été là, sur le coin de l’avenue des Pins et de l’avenue Laval. Si certains restaurants survivent parce qu’il s’agit d’établissements familiaux qui perpétuent sur le long terme des traditions culinaires (je pense par exemple aux Rites berbères, sur de Bullion, dont il faudra bien reparler ici un de ces quatre), pour sa part le Laloux semble devoir son brand name à ses faits d’armes passés. C’est que l’histoire récente de ce bistro haut de gamme est pour le moins mouvementée.

C’est ici que nous nous devons de faire l’historique du Laloux, passage obligé de toute critique de ce restaurant. (J’ai reconstitué cet historique à partir de diverses sources disponibles sur le Web et il est possible que certains détails ne soient pas parfaitement justes.)

Le restaurant Laloux a été fondé en 1987 par Philippe Laloux, qui n’y resta qu’un an (Philippe Laloux s’est depuis consacré à mille et une activités, dont la chanson, comme on l’append sur son site web). Si j’ai bien compris, Armand Forcherio (aujourd’hui au Nizza) lui aurait succédé. Mais il semble que le Laloux ait connu son âge d’or de 1992 à 2006, alors qu’André Besson (aujourd’hui Chez Lévêque) officiait comme chef. Je crois comprendre que ce sont ces quatorze années qui façonnèrent la réputation de la maison. Suite au départ de Besson, le restaurant Laloux semble avoir vécu une bien mauvaise passe, jusqu’à l’arrivée en 2007 de deux jeunes chefs, Danny St-Pierre et Patrice Demers (chef-pâtissier), qui redonneront au Laloux ses lettres de noblesse. Quelques émissions de À la Di Stasio plus tard, les deux chefs sont devenus des vedettes de la gastronomie québécoise. En 2008, Danny St-Pierre part à Sherbrooke ouvrir son propre restaurant (l’Auguste). Il est alors remplacé par Marc-André Jetté. L’année suivante, Jetté et Demers quittent tous les deux pour le Newtown. Entre en scène Éric Gonzales qui demeure chef moins d’un an. Enfin, en février dernier Seth Gabrielse prenait le relais, secondé par la chef-pâtissière Michelle Marek, laquelle a fait ses premières armes aux côtés de Patrice Demers au même Laloux. Ouf!

Au moment d’écrire ces lignes, Seth Gabrielse était toujours chef du Laloux...

Les optimistes diront que le restaurant Laloux est une superbe pépinière de nouveaux talents. On est peut-être aussi en droit de se demander si quelque chose ne cloche pas dans la gestion de ce resto… Mais peu importe! L’honnêteté commande de juger un restaurant sur le résultat et celui-ci ne nous a pas déplu!


La salle de style bistro chic est très belle, mais comme il faisait bon ce samedi soir-là et que l’ensoleillement des soirées de juin s’étire en longueur, nous avons opté pour la terrasse. Jolie petite terrasse très privée (quoique peut-être un peu bruyante à cause des bus de l’avenue des Pins) qui est située à l’avant du restaurant, sous un auvent. En ce week-end du Grand Prix de Formule 1, nous avons l’impression que presque tous les autres clients sont des touristes américains. On en conclut que la réputation du Laloux tient la route, malgré son histoire pleine de rebondissements.

Le Laloux propose une cuisine de bistro de luxe, composée d’éléments classiques du répertoire bistro (foie de veau, ris de veau, magret de canard), avec un soin et une touche créative digne d’un restaurant haut de gamme. La carte propose une table d’hôte constituée de deux entrées, d’un plat et d’un dessert, tous imposés. Nous optons plutôt pour la carte, question de composer notre propre menu.

En entrée, Madame craque pour le « foie gras poêlé, salade de pomme et thym, beurre d'amande et brioche ». Le foie gras est servi sur un pain brioché, accompagné de touches d’une gelée et de beurre d’amande. Verdict : cuisson parfaite, excellent, mais peut-être un peu frugal pour le prix (20$). De mon côté, je choisis la « verrine de crevettes nordiques, céleri, pomme, espuma à l'estragon et chips de topinambour ». Dans une verrine, trois couches se superposent : un mélange de cubes de céleri et de pomme verte, par-dessus, de belles crevettes nordiques, le tout coiffé d’une mousse à l’estragon. Le mélange des saveurs est parfait, c’est bien goûteux, frais, estival.

Pour se donner bonne conscience après le foie gras, Madame avait fait un choix végétarien : « Légumes farcis, sauce tomates fumées et poudre d'olive ». La grande assiette présente courgette et aubergine farcies à la duxelles de champignons, mini-poivrons farcis à la ratatouille et tomate farcie au fromage de chèvre, le tout servi avec des asperges. Joli assortiment, estival et réjouissant, formant un bel équilibre des saveurs. Et les légumes sont croquants tout juste comme il le faut. Pour ma part, j’avais arrêté mon choix sur le « Ris de veau, raisins rôtis, panzanella au levain maison, vinaigrette au Pedro Ximenez ». La panzanella est par définition une salade incorporant du pain rassis. Ici, le ris de veau repose sur des morceaux de pains imbibés d’une vinaigrette crémeuse. Des raisins cuits, toujours sur leur grappe, accompagnent le plat. Le ris de veau est à la fois tendre et bien grillé en surface, le crémeux de la vinaigrette (ou sauce?) et le sucré des raisins se marient très bien. Tout cela est ma foi fort bon, et je vide mon assiette, bien que je ne sois pas d’habitude un fan des plats mettant en vedette du pain détrempé.

En guise de dessert, nous avons goûté le « Pot-de-crème au chocolat, caramel et sel Maldon » et la « Crème à l'orange Séville, crumble d'avoine, suprêmes d'agrumes, glace et caramel bière noire ». Superbe dans les deux cas : on profite chez Laloux de l’expertise d’une chef-pâtissière et ça paraît.

Le service? Peut-être la maître d’hôtel nous a-t-elle semblé d’humeur un peu rude : un trait de caractère qu’on est d’avantage habitué de voir à Paris qu’à Montréal. Mais le service fut courtois, quoique peut-être un peu expéditif. Le rythme d’arrivée des plats était comme je l’aime, preste sans bousculer le client (je n’aime pas trop les restaurants où on a l’impression d’avoir été oublié).

Le Laloux demeure une excellente adresse à Montréal. Je ne suis pas gêné une seule minute que ce resto fasse partie du circuit des touristes fortunés. Souhaitons-lui maintenant de trouver une certaine sérénité et de permettre au chef actuel et à son équipe de développer leur talent dans la durée : nous espérons qu’ils seront tous encore à l’œuvre à notre prochaine visite!

Évaluation : ***½

Restaurant Laloux, 250, avenue des Pins Est, Montréal. Table d’hôte à 55$ (ou 85$ accompagné de vins en accord). À la carte, comptez une cinquantaine de dollars par personne avant vin, taxes et service.


(Les photos ont été copiées du site web du restaurant Laloux).

jeudi 3 juin 2010

La Reine des Sauces


J'ai découvert cette sauce à spaghetti à la viande il y a plusieurs années et selon moi, elle règne (!) sans partage dans la catégorie "Sauce à spaghetti à la viande du commerce qu'on achète parce qu'on n'a pas eu le temps d'en faire une". J'en ai essayées plusieurs, toutefois, la Reine des Sauces se démarque nettement pour une raison très simple : elle goûte véritablement la bonne sauce à spaghetti maison. De plus, il est à noter que cette sauce est confectionnée à partir de légumes frais et de boeuf haché n'ayant jamais été congelés.

Outre la sauce à la viande, les Provisions Marquis offre toute une gamme d'excellentes sauces pour pâtes, dont notamment, la sauce rosée, la tomate et basilic, la arrabiata ainsi que l'intrigante sauce pour lasagne, sauce que je devrai essayer sans faute.

mardi 1 juin 2010

Le gazpacho "minute"

Le gazpacho est une de mes soupes favorites et ce, parce qu'elle met en vedette la tomate ! De plus, se servant bien froide, c'est la soupe d'été par excellence.

Ingrédients (pour 3-4 personnes) :

  • Une boîte de tomates de 540 ml
  • Un demi concombre anglais coupé en gros dés
  • Un demi poivron rouge coupé en gros dés
  • Le quart d'un petit oignon coupé en gros dés
  • Une gousse d'ail
  • Le jus d'un demi citron vert (ou 1 c. à table de vinaigre de vin)
  • Un filet d'huile d'olive
  • Sel et poivre
  • Coriandre au goût (facultatif)


Préparation :

  • Mixer les tomates, le concombre, le poivron, l'oignon, l'ail et la coriandre au mélangeur jusqu'à consistance liquide.
  • Verser la soupe dans un récipient.
  • Ajouter le jus du citron vert (ou le vinaigre) et le filet d'huile.
  • Saler et poivrer au goût.
  • Mettre au frigo pour environ 2 heures ou jusqu'à ce que la soupe soit bien froide.


Note : pour une texture plus onctueuse, ajouter un peu de mie de pain (environ 1/3 à 1/2 tasse, mouillée au préalable avec un peu d'eau) à la préparation, au moment de mixer.

Cette soupe est délicieuse avec des croûtons à l'ail (frotter des tranches de baguette de pain avec une gousse d'ail, badigeonner avec un peu d'huile d'olive, saler et mettre au four quelques minutes à 375C jusqu'à ce que les croûtons soient dorés). Au moment de servir, garnir d'une brunoise de poivron rouge et de concombre.

À déguster sur la terrasse avec des amis !